4.2.10
s'évade, monte,
déambule...puis s'envole au travers du cimetière saint romain. Jeudi.
Peu importe la date.
Seulement le jour.
Mes orifices s'hermétisent à mesure que je m'élève, m'isolant dans les hauteurs du plateau.
Ici, les anciens, en paix, dominent la terre alentour. Je profite, quelques instants, de leur bienveillance tranquille. J'arpente, m'égare légèrement sous l'aile de l'ange. J'essaie oui, de respirer pleinement, de vivre profondément ces instants de recueillement avec l'inconnu.
Avec moi-même.
Puis, à la frontière du ciel et du tumulte, regagne le plat horizon qui m'attend.
jeudi 04 fevrier 2010
déambule...puis s'envole au travers du cimetière saint romain. Jeudi.
Peu importe la date.
Seulement le jour.
Mes orifices s'hermétisent à mesure que je m'élève, m'isolant dans les hauteurs du plateau.
Ici, les anciens, en paix, dominent la terre alentour. Je profite, quelques instants, de leur bienveillance tranquille. J'arpente, m'égare légèrement sous l'aile de l'ange. J'essaie oui, de respirer pleinement, de vivre profondément ces instants de recueillement avec l'inconnu.
Avec moi-même.
Puis, à la frontière du ciel et du tumulte, regagne le plat horizon qui m'attend.
jeudi 04 fevrier 2010
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