28.9.09





chemin de fontbelle, angouleme, 27 septembre 2009

("je suis un rêveur,

un ressenteur et observateur.
Je ne suis pas un faiseur.")

17.9.09

Voici un nouveau -et parmi les rares- commentaire contextuel. Je le souligne car il me semble que c'est un signe de perte de distance par rapport à l'ici et maintenant, par rapport aux évènements vécus ici bas.
Le sujet commence par evento; "intime collectif". Les concepteurs de ce projet n'emploient pas les termes appropriés au message censé être transmis. "intime collectif" est une formule publicitaire se jouant des réalités sémantiques. Tout privé de la ville à pour vocation à être dévoilé, découvert. Ce soit disant intime est un narcissisme (je suis donc je veux que l'on me voit). Le collectif est là pour rassembler les bulles individuelles juxtaposées dans la sphère urbaine, et les fédérer.
Facebook n'est pas plus de l'intime. Voilà 15 jours de pratique, et c'est tout au plus une récupération commerciale de l'idée d'intime ("intime" n'appartenant qu'à sa première définition; l'essence des choses, du plus profond de l'âme...). C'est un apparât commercial voulant s'y rapporter. Car cela n'a en aucun cas à voir avec le miroir et l'intime.
FB est l'emprise (une de ses facettes) chaque fois un peu plus importante de notre [obligation] de vie virtuelle. FB est une des premières plateforme de vie virtuelle de masse.
Le phantasme de la révolution industrielle; marquant l'avènement de la photographie et du cinéma, tuant la peinture, la sculpture et l'architecture, s'incarnait en l'homme machine. Depuis internet, le XXI siècle nous dira -ou dira pas pour d'autres raisons- l'avenir de l'homme virtuel, de l'HOMMniprésent.




15 septembre 2009




rue du jardin public, bordeaux, 17 septembre 2009

16.9.09

14.9.09